Cité S/Officiers
 

 

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 Avant que soit achevée la construction des deux cités les cadres logeaient  seul ou en famille

chez des particuliers à Bockange, Piblange et les localités voisines  (Gomelange, Burtoncourt etc...)

 

 

 

 

Ce site comporte également une page réservée au 162° RIF et une autre à l'ouvrage d'Anzeling don't les destins sont indissociables de celui du Camp de Bockange

 

 

Le 162ème RIF

 

Régiment

de la Nied

 

 

 

 

 Historique reconstitué par le Chef de Bataillon  Guillebot

 

Les derniers jours de l'ouvrage

d'Anzeling

 

         De la construction à septembre 1939

Avant que soit achevée la construction des deux cités les cadres logeaient  seul ou en famille chez des particuliers à Bockange, Piblange et les localités voisines  (Gomelange, Burtoncourt etc...)

      La cité sous-officiers est située au Nord-Est du casernement  en bordure du CD 53 (Bockange-Boulay) sur lequel prennent naissance les 3 routes desservant les pavillons.

 

  L'ensemble se compose de 14 pavillons de 4 logements type F4 accolés et superposés, 3 pavillons de 4 logements F3, 2 pavillons de 4 logements de type F5 une pavillon de  2 logements type F5. La villa du commandant de caserne (Rep.K) se troive en bordure de la route principale du casernement de sûreté.

   La cité est alimentée en électricité 110 volts depuis le transformateur (RepV) lui même alimenté par lignes aériennes depuis  l'usine d'électricité de Metz.

  Tous les pavillons sont  équipés de l'eau courante, du chaufage central et sont dotés de jardins privatifs et de garages indépendants -

    A l'entrée de la cité,  face à la route de l'ouvrage d'Anzeling, se trouve le dispensaire réservé aux familes (Rép X) . Comme dans la cité officiers 'une cabine téléphonique (Rép Y) est installée au centre de la cité.

      Entrée située face à la route menant à l'ouvrage d'Anzeling - A gauche  Pavillon " P"    en face duquel se trouve le dispensaire non visible sur le cliché (localisé  derrière les gravats )

      Comme à la cité officiers, des terrains de sports (basket, volley, tennis)  bordent  la cité au N-O -

 Evacuation des famille -

Le 24 Août 1939, les familles des militaires d'active habitant les cités-cadres sont évacuées d'autorité, soit par le chemin de fer soit par leurs propres moyens; le mobilier restant en place.  

  Les cités seront pillées par les "Joyeux" en cantonnement dans le village et seront gardées par des hommes en arme à partir de décembre 1939.

 

 De l'après-guerre aux années 1970

   

    Le plus fort taux d'occupation des cités-cadres est sans doute atteint durant les années 56 à 62 où elles accueillent  les familles des cadres  affectés en AFN, en garnison à Metz,  des  services du camp et les personnels civils de l'armée employés dans les ouvrages,  ainsi que  2 enseignants .

    La Place de Bockange est  commandée par le militaire le plus ancien dans le grade le plus élevé (1) - Le camp et les cités relèvent de la compétence de l'Arrondissement des travaux du Génie de Saint-Avold (2)

    Le transport des cadres vers Metz  est assuré 6 jours sur 7 , midi et soir, par véhicules militaires , avec pour les familles un service spécial  fonctionnant les mardis, jeudi et samedis après-midi

    Un bus supplémentaire  assurant le transport des élèves fréquentant les collèges et lycées de Metz circule également durant les années 60.

   L'école primaire installée  dans les deux grandes salles de  l'ancien mess sous-officiers s'avère  à une certaine époque trop exigue pour accueillir les élèves  du CP au Certificat d'études -  C'est ainsi qu' une classe est aménagée dans l'ancien mess officiers où sont également hébergés les hommes affectés au service général du camp et au dépôt géographique des armées.   

    Pour accéder aux photos des classes cliquez ici >>>>>     Photos

   D'autres bâtiments et installations du casernement sont aménagés et  accessibles aux familles et personnes extérieures :

 - Bâtiment C - salle de cinéma  - chapelle - local scout.

- Terrain de foot-ball :

- Place d'armes :pour des  mess en plein air célébrées  à l'occasion de la St Christophe (avec bénédiction des véhicules)

- Bâtiment  K (ancienne villa du Cdt de camp) où dès 1955 s'installe une succursale " Les Ecos" tenue par Mme AST, puis par la suite Mme Aubertin.

   

  

   Après 1965 la cité s'est peu à peu vidée au profit des zones urbanisées.  Lorsque la désertion a laissé les lieux vides à 90 %, l'armée a pris la décision d'élargir l'occupation des pavillons aux particuliers et ce à titre précaire.  

   Une attitude nouvelle, puisque jusqu'à ce moment, seuls les "ayants droit" pouvaient bénéficier d'un droit d'occupation -

 

 

( 1)  L'adjudant Chef Chatelat  en assurera le commandement,

(2) Etat des lieux, travaux urgents sont assurés par un casernier civil. Dans les années 55 l'enlèvement des ordures est assurées par  les moyens hippomobiles du camp (Chevaux de trait- tombereau)

     Copyright(c) 2007 Camp de Bockange. Tous droits réservés.

mailto:roland.gautier4@free.fr